La succursale Au Sommet Place Ville Marie du restaurant Les Enfants Terribles est la première franchise de la bannière. Elle se distingue sans doute par la vue impressionnante qu’elle offre à ses clients au 44e, soit un des plus hauts sommets de la ville de Montréal.
À la fois prisé pour sa situation unique et ses mets typiquement québécois, le restaurant compte plus d’une centaine de salariés, dont plusieurs étudiants. De la préparation des aliments dès 6 h jusqu’à la fermeture de la salle à 23 h, de nombreuses tâches qui dépendent l’une de l’autre doivent être coordonnées au quotidien, sept jours sur sept.
Avant / Après (temps par semaine)
Des défis de taille
Martine était responsable d’une succursale beaucoup plus petite avant de faire ses débuts chez Les Enfants Terribles. L’envergure de ses nouvelles responsabilités lui a rapidement fait comprendre qu’Excel ne ferait pas l’affaire pour gérer une centaine de salariés.
Les nombreuses demandes faites de vive voix, par texto ou par courriel donnaient lieu à des oublis. Chaque ajustement devait aussi être apporté au planning manuellement. La nouvelle version devait ensuite être affichée dans la salle des salariés et envoyée par courriel. Les pertes de temps étaient substantielles.
Des feuilles de présence qui prennent du temps
Anciennement, les salariés pointaient sur le POS (terminal de point de vente) du restaurant. Bien qu’il s’agissait d’un système informatisé, les feuilles de présence n’étaient pas liées au planning. Martine devait donc retranscrire manuellement les heures pointées dans les feuilles de présence, puis comparer ces heures aux heures planifiées. Ce long processus pouvait donner lieu à des erreurs de retranscription. Le management des heures supplémentaires était tout aussi complexe.
Communication rudimentaire
Lorsqu’il y avait des modifications au planning ou des problèmes d’heures pointées, les personnes concernées devaient être contactées par téléphone ou par courriel. En plus de prendre du temps, il était toujours possible qu’on ne réussisse pas à rejoindre la personne. Parfois, les salariés s’échangeaient des plages, mais n’informaient pas le manager, ce qui pouvait causer des problèmes de paie.
Les plannings, toujours à jour
Faire les plannings sur Excel est maintenant chose du passé chez Les Enfants Terribles. Comme toutes les demandes de salariés se font en passant par Agendrix, plus rien n’échappe à Martine. Dès qu’une demande est vérifiée et approuvée par un manager, les plannings sont mis à jour automatiquement, et les salariés concernés reçoivent une alerte sur leur téléphone. Ceux qui n’ont pas de téléphone utilisent simplement un ordinateur.
En une heure, j’ai appris à utiliser Agendrix. La vitesse à laquelle j’ai pu lancer mon premier planning est fantastique.
Fini les appels manqués et les courriels ignorés. Tout ce temps économisé est aujourd’hui investi dans la formation et d’autres tâches essentielles à la croissance du restaurant.
Des feuilles de présence pratiques
Au lieu de pointer sur le POS, les salariés pointent maintenant à partir d’une tablette sur laquelle on a installé Agendrix. Entrées, pauses et sorties sont enregistrées automatiquement dans les feuilles de présence intégrées au logiciel, donc plus besoin de retranscrire. Après une vérification rapide des heures, les feuilles sont simplement exportées vers le système de paie. Il existe même un rapport qui aide à diviser les pourboires équitablement.
À l’écoute des salariés
Agendrix aide à gérer les contraintes en permettant à chaque salarié d’envoyer ses périodes de disponibilités aux managers. Martine n’a ensuite qu’à construire le planning autour de ces périodes. En plus de simplifier la planification, cette manière flexible de travailler fidélise le salarié; l’équilibre travail/vie personnelle favorise une bonne rétention du personnel.